Les Russes, dominées par le relais français jusqu'au 3e relais de Marie Dorin, décrochent finalement l'or olympique. Un titre qui semblait promis aux Bleues et qui leur échappe de peu. Marie Dorin et Sandrine Bailly ont du fournir un effort énorme pour revenir à seulement 32"8 des championnes olympiques et remporter l'argent, devant le relais allemand (+37"1). C'est la sixième médaille pour le biathlon français.
Après de tels JO sur le plan individuel, l'équipe de France féminine ne pouvait pas repartir de Vancouver sans une médaille collective. Et Marie Dorin ne pouvait pas, après son entrée en matière si rafraichissante en sprint, être celle qui torpillait le relais tricolore. Alors oui, les Bleues ont failli au tir. Mais avec un fond du tonnerre, et armées d'un courage fantastique, elles ont quand même décroché une superbe médaille d'argent…
Jusqu'ici tout va bien… Marie-Laure Brunet lançait ainsi parfaitement le TGV tricolore. Impériale au tir couché, la médaillée de bronze en poursuite s'accrochait aux basques de la Russe Svetlana Sleptsova jusqu'à l'exercice debout. Las, deux pioches venaient interrompre le beau parcours de la Française. Un temps seulement toutefois car très vite, Brunet revenait dans l'allure de Kati Wilhelm, décidément pas au mieux lors de ces Jeux Olympiques. Et sur la fin de parcours, la native de Lannemezan se permettait le luxe de lâcher l'Allemande et de dépasser la Russe qui venait d'abandonner les 15 secondes d'avance glanées lors du tir debout. Sylvie Becaert prenait donc le relais en tête. Sans lui faire injure, celle-ci faisait figure de possible maillon faible hexagonal. Mais à 35 ans, la Nordiste savait que ce relais constituait sa dernière chance de médaille olympique. Conséquence, elle se surpassait. Au tir, avec une seule petite pioche sur le debout. Et surtout en fond, où elle était au-dessus de ses adversaires directes, l'Allemande Simone Hauswald et la Russe Anna Bogaliy-Totovets. Elle offrait ainsi à Marie Dorin la place de leader avec 2'' d'avance sur ses poursuivantes. Et pour le podium, les affaires tricolores se portaient idéalement avec les quatrièmes, les Bélarusses, rejetées à près de 30 secondes.
Dorin dans le dur mais Bailly… Sauf qu'en biathlon, rien n'est jamais acquis, loin de là. Alors que la neige commençait très légèrement à faire son apparition, la médaillée de bronze du sprint craquait totalement au tir couché. Rattrapée par la pression, elle piochait ses trois balles et trouvait le moyen de rater encore deux cibles, ce qui était synonyme de deux tours de pénalité. Le titre olympique s'envolait définitivement. Restait alors à sauver ce qui pouvait l'être, à savoir une éventuelle médaille de bronze. Ce que Dorin faisait bien grâce à une glisse fabuleuse qui la propulsait à la 3e place juste devant l'Ukraine. Devant, la Russie survolait la piste avec 45'' d'avance sur l'Allemagne. Passée à côté de ses Jeux, Sandrine Bailly voyait là l'occasion de ne pas finir fanny. Une pioche au couché laissait néanmoins craindre le pire. Mais à l'image de ses compatriotes, «Sansan» disposait d'une qualité de glisse exceptionnelle pour reprendre sa 3e place. Et au debout, Andrea Henkel commettait deux fautes qui rendaient l'argent possible pour la Tricolore, auteure d'un sans-faute qui lui permettait de revenir à 6'' de l'Allemande. Dès lors, le suspense ne durait que quelques centaines de mètres car Bailly, par l'odeur de l'argent alléchée, avalait littéralement Henkel pour grimper d'un cran dans la hiérarchie, derrière des Russes qui conservent leur titre de main de maître.
Podium du relais F : 1. Russie 2. France 3. Allemagne
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Le film de la course
Bailly va chercher l'argent - 21:36
Sandrine Bailly est revenue sur Andrea Henkel et a déposé l'Allemande. La Française ne lâche rien et s'en va tout droit décrocher une belle médaille d'argent.
Bailly à la bagarre - 21:32
Sandrine Bailly vient de repasser devant Vita Semerenko, l'Ukrainienne. Elle la devance d'une seconde au pointage du km 3,2.
Bailly recule, l'or promis à la Russie - 21:31
Sandrine Bailly s'est fait passer par le relais ukrainien. La Française est sortie du pas de tir en 4e position, à 1'11"4. Les Russes sont intouchables. Olga Zaitseva est à 41"9 d'Andrea Henkel pour l'Allemagne.
Marie Dorin a le sens de l'honneur - 21:23
Après le fiasco de son premier tir, où tout semblait terminé, Marie Dorin a tout donné pour revenir et transmettre le dernier relais à Sandrine Bailly en...3e position ! Certes à plus d'une minute du podium (1'08"5) mais à une trentaine de secondes des Allemandes. L'argent est à la portée de Sandrine Bailly.
Dorin se ratrappe - 21:18
Marie Dorin se ratrappe un peu en remontant à la 6e place (1'12"2) après le deuxième tir.
Dorin met le relais en péril - 21:12
Marie Dorin a manqué son passage sur le pas de tir. La Française écope de deux tours de pénalités et réduit considérablement les chances de médaille française. Le relais dégringole à la 9e place à 1'14"6.
Becaert tient tête - 21:05
Sylvie Becaert a gardé la tête du relais, transmettant cette première place à Marie Dorin. Les Russes sont à 1"5 et les Allemandes à 2"0.
Brunet met les Bleues sur orbite - 20:47
Marie-Laure Brunet a transmis le relais à Sylvie Becaert en tête, alors qu'elle ne pointait qu'à la 4e place au précédent intermédiaire. Les Françaises sont donc devant les Russes, les Allemandes et les Ukrainiennes.
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mardi 23 février 2010
lundi 22 février 2010
JO 2010: Le bianthlon français en argent
Martin Fourcade a tenu à remercier son frère aîné Simon, "source d'inspiration" et "modèle". A l'arrivée, il s'est presque excusé d'avoir gagné cette médaille à la place de son aîné. "Je t'aime", lui a répondu Simon. Les Fourcade nagent dans le bonheur.

Médaillé d'argent de la mass-start dimanche, Martin
M.F. : Cela a effectivement commencé un peu timidement pour moi. J'ai pensé que c'était fini après le premier tir (NDLR: Il était alors 28e sur 30 avec 2 fautes). Mais devant, des leaders n'ont pas su assumer leur rôle en laissant revenir derrière. Ensuite, je fais un gros dernier tour. C'est là que j'ai vu que la médaille était jouable. En fait, je suis allé chercher l'argent pour assurer au moins le bronze. En étant deuxième, je savais qu'il n'y aurait pas deux skieurs capables de me dépasser et que donc je serais sur le podium.
Vous attendiez-vous à être aussi fort sur les skis aujourd'hui?
M.F. : Je n'ai pas forcément été beaucoup plus fort que d'habitude mais je crois que les autres étaient très fatigués. J'étais peut-être plus frais et c'est ça qui a fait la différence. Après, dans le dernier tour, j'y suis allé à l'envie. J'ai rattrapé Vincent Jay, j'ai rattrapé Christoph Sumann et là, je me suis mis à y croire très fort.
Comment avez-vous vécu les médailles de vos coéquipiers lors des premières épreuves pendant que vous vous étiez en retrait?
M.F. : Pour moi le début des Jeux a été compliqué avec des courses où je ne suis pas à mon niveau. D'un côté, on est content pour les autres mais il y a aussi la déception personnelle. J'attendais beaucoup mais ça ne payait pas. J'ai vécu des moments difficiles après le sprint. On a tous pleuré dans nos chambres. Certains de bonheur, d'autres de tristesse. Cela allait mieux après le 20 km (14e). L'ambiance dans l'équipe a évidemment joué même si je peux pas quantifier cet apport. Cette réussite collective montre que ce n'était pas de la chance. Je pense sincèrement qu'aujourd'hui je ne suis pas considéré comme une surprise.
Parlez-nous de Simon, votre frère, et de ce qu'il vous apporte?
M.F. : J'ai une grande pensée pour Simon (14e). C'est grâce à lui que je suis là. Ca fait 5 ans que je vis avec lui, qu'on partage la même passion. On fait des sacrifices ensemble. Simon est un gros bosseur, peut être le plus gros du circuit, voire de tous les sportifs français. Quand on vit avec lui, on a l'impression d'être un fainéant. Il se donne toujours à 100%. Je suis plus jeune alors j'ai sans doute besoin qu'on me pousse. Je le remercie sincèrement. Il a toujours été mon modèle. C'est aussi une source d'inspiration au tir. Naturellement, j'ai peut être moins tendance à travailler que lui. Et en plus, il y avait mes parents. J'ai aussi vu les panneaux de mon village c'est un grand moment. J'ai envie de les serrer dans mes bras.

Médaillé d'argent de la mass-start dimanche, Martin
M.F. : Cela a effectivement commencé un peu timidement pour moi. J'ai pensé que c'était fini après le premier tir (NDLR: Il était alors 28e sur 30 avec 2 fautes). Mais devant, des leaders n'ont pas su assumer leur rôle en laissant revenir derrière. Ensuite, je fais un gros dernier tour. C'est là que j'ai vu que la médaille était jouable. En fait, je suis allé chercher l'argent pour assurer au moins le bronze. En étant deuxième, je savais qu'il n'y aurait pas deux skieurs capables de me dépasser et que donc je serais sur le podium.
Vous attendiez-vous à être aussi fort sur les skis aujourd'hui?
M.F. : Je n'ai pas forcément été beaucoup plus fort que d'habitude mais je crois que les autres étaient très fatigués. J'étais peut-être plus frais et c'est ça qui a fait la différence. Après, dans le dernier tour, j'y suis allé à l'envie. J'ai rattrapé Vincent Jay, j'ai rattrapé Christoph Sumann et là, je me suis mis à y croire très fort.
Comment avez-vous vécu les médailles de vos coéquipiers lors des premières épreuves pendant que vous vous étiez en retrait?
M.F. : Pour moi le début des Jeux a été compliqué avec des courses où je ne suis pas à mon niveau. D'un côté, on est content pour les autres mais il y a aussi la déception personnelle. J'attendais beaucoup mais ça ne payait pas. J'ai vécu des moments difficiles après le sprint. On a tous pleuré dans nos chambres. Certains de bonheur, d'autres de tristesse. Cela allait mieux après le 20 km (14e). L'ambiance dans l'équipe a évidemment joué même si je peux pas quantifier cet apport. Cette réussite collective montre que ce n'était pas de la chance. Je pense sincèrement qu'aujourd'hui je ne suis pas considéré comme une surprise.
Parlez-nous de Simon, votre frère, et de ce qu'il vous apporte?
M.F. : J'ai une grande pensée pour Simon (14e). C'est grâce à lui que je suis là. Ca fait 5 ans que je vis avec lui, qu'on partage la même passion. On fait des sacrifices ensemble. Simon est un gros bosseur, peut être le plus gros du circuit, voire de tous les sportifs français. Quand on vit avec lui, on a l'impression d'être un fainéant. Il se donne toujours à 100%. Je suis plus jeune alors j'ai sans doute besoin qu'on me pousse. Je le remercie sincèrement. Il a toujours été mon modèle. C'est aussi une source d'inspiration au tir. Naturellement, j'ai peut être moins tendance à travailler que lui. Et en plus, il y avait mes parents. J'ai aussi vu les panneaux de mon village c'est un grand moment. J'ai envie de les serrer dans mes bras.
mercredi 17 février 2010
JO 2010: Snowboardcross et Combiné: Et 3 de plus, la moisson continue!
La snowboardeuse française Déborah Anthonioz a fait mieux que Tony Ramoin, bronzé la veille, en décrochant la deuxième place du concours de snowboardcross féminin.
La joie de la snowboardeuse française Déborah Anthonioz, médaillée d'argent le 16 février 2010 à Cypress Mountain près de Vancouver. (AFP Mark Ralston)
Les jours se suivent et se ressemblent: après le bronze surprise de Tony Ramoin la veille, c'est Déborah Anthonioz qui a saisi l'opportunité en glanant la médaille d'argent de l'épreuve de snowboardcross dames remportée par la Canadienne Maelle Ricker, mardi à Cypress Mountain.
«Et si on avait une surprise comme chez les garçons ?», avait glissé avant même les qualifications Joël Franitch, le patron du snowboard tricolore, en pensant à l'exploit de Tony Ramoin.
Les Françaises, et particulièrement Déborah l'expérimentée (31 ans) l'ont écouté faisant fi des énormes palmarès d'adversaires telles l'Américaine Lindsey Jacobellis ou la Norvégienne Helene Olafsen.
Anthonioz a évité les pièges de ces courses à quatre où la moindre faute, le moindre contact peut être fatal, pour franchir chaque étape, entraînant dans son sillage les novices Nelly Moenne Loccoz (19 ans) et Claire Chapotot (20 ans) jusqu'en phase finale
Si Chapotot était stoppée en quarts de finale, Anthonioz et Moenne Loccoz se retrouvaient dans la même demi-finale où elles profitaient de la bataille en tête qui coûtait la sortie de Jacobellis, la médaillée d'argent de Turin.
Deuxième de sa demi-finale, Anthonioz n'avait plus rien à perdre. En rideuse expérimentée, elle a allié prudence et agressivité aux moments opportuns, évitant une fois de plus les écarts et les contacts qui étaient fatales pour Olafsen puis la Suissesse Olivia Nobs.
A l'arrivée, Ricker s'imposait avec une large avance, au grand bonheur du public canadien, prenant sa revanche sur la finale de Turin où elle avait chuté très vite pour finir à l'hôpital.
Et c'est Déborah, athlète de poche (1,65 m pour 52 kg) à la longue chevelure dépassant de son casque, qui apparaissait sur le haut du dernier saut pour finir sa course vers un argent inespéré et tomber dans les bras de la gagnante avant de rejoindre un clan français aux anges.
Moenne Loccoz terminait pour sa part à la deuxième place de la petite finale derrière Jacobellis, synonyme de 6e place pour sa première expérience olympique.
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Deux médailles de plus pour les Français
Par DINO DIMEO (à Vancouver)
Un couple en bronze: La biathlète de Lannemezan, Marie-Laure Brunet a remporté hier le bronze du 10 km poursuite, quelques heures avant son compagnon Vincent Jay, qui en a fait de même chez les hommes sur 12,5 km, derrière le Suédois Björn Ferry (or) et l’Autrichien Christoph Sumann.
(lu sur Libe)

Les jours se suivent et se ressemblent: après le bronze surprise de Tony Ramoin la veille, c'est Déborah Anthonioz qui a saisi l'opportunité en glanant la médaille d'argent de l'épreuve de snowboardcross dames remportée par la Canadienne Maelle Ricker, mardi à Cypress Mountain.
«Et si on avait une surprise comme chez les garçons ?», avait glissé avant même les qualifications Joël Franitch, le patron du snowboard tricolore, en pensant à l'exploit de Tony Ramoin.
Les Françaises, et particulièrement Déborah l'expérimentée (31 ans) l'ont écouté faisant fi des énormes palmarès d'adversaires telles l'Américaine Lindsey Jacobellis ou la Norvégienne Helene Olafsen.
Anthonioz a évité les pièges de ces courses à quatre où la moindre faute, le moindre contact peut être fatal, pour franchir chaque étape, entraînant dans son sillage les novices Nelly Moenne Loccoz (19 ans) et Claire Chapotot (20 ans) jusqu'en phase finale
Si Chapotot était stoppée en quarts de finale, Anthonioz et Moenne Loccoz se retrouvaient dans la même demi-finale où elles profitaient de la bataille en tête qui coûtait la sortie de Jacobellis, la médaillée d'argent de Turin.
Deuxième de sa demi-finale, Anthonioz n'avait plus rien à perdre. En rideuse expérimentée, elle a allié prudence et agressivité aux moments opportuns, évitant une fois de plus les écarts et les contacts qui étaient fatales pour Olafsen puis la Suissesse Olivia Nobs.
A l'arrivée, Ricker s'imposait avec une large avance, au grand bonheur du public canadien, prenant sa revanche sur la finale de Turin où elle avait chuté très vite pour finir à l'hôpital.
Et c'est Déborah, athlète de poche (1,65 m pour 52 kg) à la longue chevelure dépassant de son casque, qui apparaissait sur le haut du dernier saut pour finir sa course vers un argent inespéré et tomber dans les bras de la gagnante avant de rejoindre un clan français aux anges.
Moenne Loccoz terminait pour sa part à la deuxième place de la petite finale derrière Jacobellis, synonyme de 6e place pour sa première expérience olympique.
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Deux médailles de plus pour les Français
Par DINO DIMEO (à Vancouver)
Un couple en bronze: La biathlète de Lannemezan, Marie-Laure Brunet a remporté hier le bronze du 10 km poursuite, quelques heures avant son compagnon Vincent Jay, qui en a fait de même chez les hommes sur 12,5 km, derrière le Suédois Björn Ferry (or) et l’Autrichien Christoph Sumann.
(lu sur Libe)
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biathlon,
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sports
dimanche 14 février 2010
JO 2010: Biathlon: Jay champion olympique
Vincent Jay offre à la France sa première médaille d'or.
Quatre ans après Vincent Defrasne, paré d'or à Turin sur la poursuite, Vincent Jay décroche ce dimanche le titre olympique du sprint 10 km. Le biathlète des Menuires, infaillible au tir, devance sur le podium le Norvégien Emil Svendsen et le Croate Jakov Fak alors que les favoris, Ole Einar Bjoerndalen en tête, se sont heurtés à des conditions météo difficiles. 24 heures après la médaille de bronze de Marie Dorin, le biathlon rapporte à la France sa deuxième breloque dans ces Jeux de Vancouver.
Eh ben on démarre fort...
(lu sur Le Monde)
Quatre ans après Vincent Defrasne, paré d'or à Turin sur la poursuite, Vincent Jay décroche ce dimanche le titre olympique du sprint 10 km. Le biathlète des Menuires, infaillible au tir, devance sur le podium le Norvégien Emil Svendsen et le Croate Jakov Fak alors que les favoris, Ole Einar Bjoerndalen en tête, se sont heurtés à des conditions météo difficiles. 24 heures après la médaille de bronze de Marie Dorin, le biathlon rapporte à la France sa deuxième breloque dans ces Jeux de Vancouver.
Eh ben on démarre fort...
(lu sur Le Monde)
samedi 13 février 2010
JO 2010: Biathlon: Ca commence fort pour les Francais
Marie Dorin: "C'est fou, c'est dingue". Elle est sur le podium olympique.
Marie Dorin a apporté la première médaille au clan tricolore ce samedi en prenant la troisième place du sprint en biathlon. La jeune Française a terminé derrière la Slovaque Anastazia Kuzmina et l’Allemande Magdalena Neuner. "Le but était d'être dans le relais olympique et au départ il y avait un peu de stress car je me suis dit que c'était quand même une course importante. C'est génial, je ne m'y attendais pas du tout. C'est incroyable que ça m’arrive à moi. C'est fou, c'est dingue", s’est félicitée Marie Dorin.
(lu sur Le Monde)
Marie Dorin a apporté la première médaille au clan tricolore ce samedi en prenant la troisième place du sprint en biathlon. La jeune Française a terminé derrière la Slovaque Anastazia Kuzmina et l’Allemande Magdalena Neuner. "Le but était d'être dans le relais olympique et au départ il y avait un peu de stress car je me suis dit que c'était quand même une course importante. C'est génial, je ne m'y attendais pas du tout. C'est incroyable que ça m’arrive à moi. C'est fou, c'est dingue", s’est félicitée Marie Dorin.
(lu sur Le Monde)
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