Okay men, stop searching. The best music video of the year is here and it’s not Erykah Badu stripping on the streets of Dallas. From our point of view it is Complicated Universal Cum with their song I Can Hardly Wait. Great video. Two lovely ladies kissing. That’s how it works on the interwebs. Thanks to our friend Simon for this.
Read more: http://attuworld.com/#ixzz0kRRZKKBc
mercredi 7 avril 2010
Le Serial Blender a capturé un iPad
Et voila, fallait juste le faire...
Ou une video ou quelques teenages se le font à la batte de basball. Malin.
Ou une video ou quelques teenages se le font à la batte de basball. Malin.
jeudi 1 avril 2010
lundi 29 mars 2010
600 000 enfants mal-logés en France
Un rapport choc de la Fondation Abbé Pierre pointe du doigt une situation inadmissible : en France, 600 000 enfants souffrent aujourd’hui du mal-logement.
Des enfants qui vivent dans la rue avec ou sans famille, des enfants hébergés chez des tiers, à l’hôtel, dans des squats ou des structures d’hébergement collectives. Des enfants qui vivent dans de mauvaises conditions : logement dégradé, insalubre, surpeuplé… Les formes de mal-logement sont diverses. Et coexistent en France. C’est le triste constat de la Fondation Abbé Pierre, qui consacre un chapitre entier de son rapport annuel aux enfants touchés par le mal-logement dans notre pays.
Ils sont aujourd’hui près de 600 000 mineurs à être touchés. Certains sont tous seuls, comme les mineurs étrangers en errance sur le territoire français, d’autres vivent avec leurs familles dans ces conditions très précaires. Des familles tombées dans le mal-logement par pauvreté, rupture d’un lien familial, déracinement…
Certaines familles avec enfants peuvent passer de l’hôtel à l’hébergement chez un proche, puis à la rue : la frontière entre les différentes formes d’hébergement est poreuse. Aujourd’hui, certains enfants vivent en France dans des cabanes, des garages, des abris de fortunes ou dans des bidonvilles.
Retards du développement et problèmes de santé
Une éducatrice de jeunes enfants raconte à la Fondation Abbé Pierre avoir rencontré une maman qui s’inquiétait des retards de son enfant : «Elle voyait bien que les autres enfants de cet âge marchaient. Mais elle expliquait : “à la maison, il reste dans son lit. Je ne peux pas le mettre par terre car il n’y a pas de place". En fait, cet enfant n’avait pas de terrain d’exploration au niveau moteur.»
Les conséquences du mal-logement sur la santé et le développement des enfants sont terribles. Dans les logements très petits et surpeuplés, ils manquent de place pour apprendre à marcher, pour jouer, pour faire leurs devoirs. A l’école, ils sont stigmatisés, ils ont honte. Ils développent des problèmes émotionnels, subissent des traumatismes.
Ces jeunes dorment mal. Ils perdent également leurs repères spatio-temporels et souffrent de l’absence d’intimité. Lorsqu’ils vivent dans la rue ou dans des hôtels, ils ne mangent pas forcément de repas chauds.
Si les enfants dormant dans la rue développent de nombreuses maladies, ceux habitant un logement insalubre ne sont pas épargnés. « On estime entre 400 000 et 600 000 le nombre de logements indignes ou insalubres en France, où vivent plus d’un million de personnes, dont plusieurs dizaines de milliers d’enfants, souligne le rapport de la Fondation Abbé Pierre. Les effets les plus connus du mal-logement sur l’enfant sont ceux relatifs à l’état technique des lieux dans lequel il vit : le saturnisme lié à la présence de plomb, les pathologies respiratoires (asthme…) et les infections dermatologiques (champignons…) dus à des problèmes de ventilation et de chauffage ou encore les accidents domestiques provoqués, par exemple, par la vétusté des installations électriques.»
Quel avenir pour ces enfants ?
« Le mal-logement vient renforcer le déterminisme social qui fait que l’enfant pauvre aura tendance à reproduire la situation dans laquelle se sont trouvés ses parents », complète la Fondation Abbé Pierre. Le mal-logement amplifie les difficultés rencontrées par les enfants les plus pauvres. Il y a urgence pour eux. Pour que ces enfants aient une chance d’avoir un avenir décent.
La Fondation Abbé Pierre lance un appel. « Avec 600 000 enfants souffrant du mal-logement, il est urgent de mettre en œuvre une politique du logement qui réponde mieux aux besoins actuels des familles avec enfants. »
(Lu ici)
Des enfants qui vivent dans la rue avec ou sans famille, des enfants hébergés chez des tiers, à l’hôtel, dans des squats ou des structures d’hébergement collectives. Des enfants qui vivent dans de mauvaises conditions : logement dégradé, insalubre, surpeuplé… Les formes de mal-logement sont diverses. Et coexistent en France. C’est le triste constat de la Fondation Abbé Pierre, qui consacre un chapitre entier de son rapport annuel aux enfants touchés par le mal-logement dans notre pays.
Ils sont aujourd’hui près de 600 000 mineurs à être touchés. Certains sont tous seuls, comme les mineurs étrangers en errance sur le territoire français, d’autres vivent avec leurs familles dans ces conditions très précaires. Des familles tombées dans le mal-logement par pauvreté, rupture d’un lien familial, déracinement…
Certaines familles avec enfants peuvent passer de l’hôtel à l’hébergement chez un proche, puis à la rue : la frontière entre les différentes formes d’hébergement est poreuse. Aujourd’hui, certains enfants vivent en France dans des cabanes, des garages, des abris de fortunes ou dans des bidonvilles.
Retards du développement et problèmes de santé
Une éducatrice de jeunes enfants raconte à la Fondation Abbé Pierre avoir rencontré une maman qui s’inquiétait des retards de son enfant : «Elle voyait bien que les autres enfants de cet âge marchaient. Mais elle expliquait : “à la maison, il reste dans son lit. Je ne peux pas le mettre par terre car il n’y a pas de place". En fait, cet enfant n’avait pas de terrain d’exploration au niveau moteur.»
Les conséquences du mal-logement sur la santé et le développement des enfants sont terribles. Dans les logements très petits et surpeuplés, ils manquent de place pour apprendre à marcher, pour jouer, pour faire leurs devoirs. A l’école, ils sont stigmatisés, ils ont honte. Ils développent des problèmes émotionnels, subissent des traumatismes.
Ces jeunes dorment mal. Ils perdent également leurs repères spatio-temporels et souffrent de l’absence d’intimité. Lorsqu’ils vivent dans la rue ou dans des hôtels, ils ne mangent pas forcément de repas chauds.
Si les enfants dormant dans la rue développent de nombreuses maladies, ceux habitant un logement insalubre ne sont pas épargnés. « On estime entre 400 000 et 600 000 le nombre de logements indignes ou insalubres en France, où vivent plus d’un million de personnes, dont plusieurs dizaines de milliers d’enfants, souligne le rapport de la Fondation Abbé Pierre. Les effets les plus connus du mal-logement sur l’enfant sont ceux relatifs à l’état technique des lieux dans lequel il vit : le saturnisme lié à la présence de plomb, les pathologies respiratoires (asthme…) et les infections dermatologiques (champignons…) dus à des problèmes de ventilation et de chauffage ou encore les accidents domestiques provoqués, par exemple, par la vétusté des installations électriques.»
Quel avenir pour ces enfants ?
« Le mal-logement vient renforcer le déterminisme social qui fait que l’enfant pauvre aura tendance à reproduire la situation dans laquelle se sont trouvés ses parents », complète la Fondation Abbé Pierre. Le mal-logement amplifie les difficultés rencontrées par les enfants les plus pauvres. Il y a urgence pour eux. Pour que ces enfants aient une chance d’avoir un avenir décent.
La Fondation Abbé Pierre lance un appel. « Avec 600 000 enfants souffrant du mal-logement, il est urgent de mettre en œuvre une politique du logement qui réponde mieux aux besoins actuels des familles avec enfants. »
(Lu ici)
Grigori Perelman résout la conjecture de Poincare
Grigori Yakovlevich Perelman (Russian: Григо́рий Я́ковлевич Перельма́н) (born 13 June, 1966), sometimes known as Grisha Perelman, is a Russian mathematician who has made landmark contributions to Riemannian geometry and geometric topology. In particular, he proved Thurston's geometrization conjecture. This solves in the affirmative the famous Poincaré conjecture, posed in 1904, which was viewed as one of the most important and difficult open problems in mathematics until it was solved.
In August 2006, Perelman was awarded the Fields Medal[1] for "his contributions to geometry and his revolutionary insights into the analytical and geometric structure of the Ricci flow". Perelman declined to accept the award or to appear at the congress. On 22 December 2006, the journal Science recognized Perelman's proof of the Poincaré conjecture as the scientific "Breakthrough of the Year", the first such recognition in the area of mathematics.[2] He has since ceased working on mathematics. On 18 March 2010, it was announced that he had met the criteria to receive the first Clay Millennium Prize Problems award[3] of US $1,000,000, for resolution of the Poincaré conjecture.
(Tiré directement de Wikipedia mais bien plus à lire ici)
In August 2006, Perelman was awarded the Fields Medal[1] for "his contributions to geometry and his revolutionary insights into the analytical and geometric structure of the Ricci flow". Perelman declined to accept the award or to appear at the congress. On 22 December 2006, the journal Science recognized Perelman's proof of the Poincaré conjecture as the scientific "Breakthrough of the Year", the first such recognition in the area of mathematics.[2] He has since ceased working on mathematics. On 18 March 2010, it was announced that he had met the criteria to receive the first Clay Millennium Prize Problems award[3] of US $1,000,000, for resolution of the Poincaré conjecture.
(Tiré directement de Wikipedia mais bien plus à lire ici)
Waving Flag, de K’naan devient l'hymne du Mondial 2010
Et l'on reparle, encore et toujours, du désormais incontournable Bruno Mars sur mysoul.fr. Cette fois-ci, le musicien n'apparaît pas en featuring, comme c'est le cas sur le single de Travie McCoy ou sur celui de B.O.B, mais c'est pourtant bien lui, et son complice Philipp Lawrence, qui ont co-signé le nouveau titre de K'naan, "Wavin' Flag". Alors que "Troubadour", le troisième opus du MC somalien, est sorti l'année dernière dans une certaine confidentialité, son dernier extrait en date, "Wavin' Flag" vient d'être choisi par Coca-Cola pour sa campagne officielle à l'occasion de la Coupe Du Monde Fifa 2010.
Une véritable machine de guerre marketing vient donc d'être enclenchée par la célèbre boisson gazeuse, afin d'offrir à ce brillant artiste, encore peu connu du grand public, l'exposition ultime, et ce aux quatre coins du globe. Dans l'EPK de son titre "Wavin' Flag", K'naan lève le voile sur son parcours artistique et personnel, intrinsèquement liés l'un à l'autre (il a miraculeusement survécu à la guerre civile qui fait rage dans son pays d'origine et trouvé refuge au Canada, et fut sauvé de la délinquance grâce à sa passion pour le Hip Hop).
Le morceau, dont le texte a été modifié dans le but de lui conférer une dimension encore plus fédératrice, (quitte à perdre une grande partie du message d'origine en route ?), a également été remixé pour y intégrer le fameux gimmick "Open Happiness" que l'on retrouve dans toutes les publicités Coca-Cola. "Wavin' Flag" a aussi fait l'objet de multiples versions, adaptées aux marchés locaux. Ainsi, si les espagnols ont eu droit à un duo entre K'naan et le chanteur pop David Bisbal (voir la vidéo ici), c'est un jeune Saïan à la retraite qui officie désormais en solo, Féfé, qui apparaîtra sur la version française du titre.
(Lu ici)
Une véritable machine de guerre marketing vient donc d'être enclenchée par la célèbre boisson gazeuse, afin d'offrir à ce brillant artiste, encore peu connu du grand public, l'exposition ultime, et ce aux quatre coins du globe. Dans l'EPK de son titre "Wavin' Flag", K'naan lève le voile sur son parcours artistique et personnel, intrinsèquement liés l'un à l'autre (il a miraculeusement survécu à la guerre civile qui fait rage dans son pays d'origine et trouvé refuge au Canada, et fut sauvé de la délinquance grâce à sa passion pour le Hip Hop).
Le morceau, dont le texte a été modifié dans le but de lui conférer une dimension encore plus fédératrice, (quitte à perdre une grande partie du message d'origine en route ?), a également été remixé pour y intégrer le fameux gimmick "Open Happiness" que l'on retrouve dans toutes les publicités Coca-Cola. "Wavin' Flag" a aussi fait l'objet de multiples versions, adaptées aux marchés locaux. Ainsi, si les espagnols ont eu droit à un duo entre K'naan et le chanteur pop David Bisbal (voir la vidéo ici), c'est un jeune Saïan à la retraite qui officie désormais en solo, Féfé, qui apparaîtra sur la version française du titre.
(Lu ici)
Jan Vormann met des LEGO dans les murs
Dispatchwork is project by artist Jan Vormann where he fills up holes in walls with Lego bricks. He did this before in Bocchignano, a village close to Rome, and Tel Aviv. This time he did in Berlin, where he and many spontaneous helpers filled World War II bullet holes at a building of Humbold University. You can find some other patched walls around town too.
(Lu ici et ailleurs)
(Lu ici et ailleurs)
Libellés :
art moderne,
Jan Vormann,
LEGO,
sculpture
Nathan Sawaya joue encore aux LEGO
Nathan Sawaya (born July 10, 1973), is an artist who builds custom three-dimensional models and large-scale mosaics from popular everyday items and standard Lego toy bricks. His unique, one-of-a-kind art creations are commissioned by companies, charities, individuals, museums and galleries.
He first came to national attention in 2004, when he won a nationwide search for a professional Lego Master Model Builder.[1]
After working for the Lego company for six months, he branched off and opened his own art studio in New York and is officially recognized by The Lego Group as a Lego Certified Professional.[2]
He first came to national attention in 2004, when he won a nationwide search for a professional Lego Master Model Builder.[1]
After working for the Lego company for six months, he branched off and opened his own art studio in New York and is officially recognized by The Lego Group as a Lego Certified Professional.[2]
Libellés :
art moderne,
LEGO,
Nathan Sawaya,
sculpture
samedi 27 mars 2010
Une sculpture de Giacometti bat les records
Record battu par Alberto Giacometti le 3 fevrier dernier avec la vente pour un montant de 74 millions d'euros de son "l'Homme qui marche".
Libellés :
Alberto Giacometti,
art moderne,
sculpture
vendredi 26 mars 2010
Géorgie: un canular télé annonce l'invasion russe
En Géorgie, une chaîne de télévision proche du président Saakachvili a diffusé samedi un faux reportage montrant l'invasion du pays par les Russes, provoquant la panique dans le pays.
Les Géorgiens n'en ont pas cru leurs yeux lorsqu'ils ont regardé, à 20 heures, les informations sur la chaîne privée "Imedi". Le présentateur leur annonçait que les chars russes étaient en train d'envahir le pays, que le président Mikheïl Saakachvili était mort, et que l'opposition avait décidé de se ranger du côté de la Russie, soutenue par une partie de l'armée.
Ce n'était qu'une vaste blague, signalée brièvement par un message au début de l'émission. Mais beaucoup de ceux qui ont pris l'émission en cours n'y ont vu que du feu, d'autant plus que le souvenir de la guerre éclair d'août 2008 entre la Géorgie et la Russie est encore frais. Le canular en a d'ailleurs utilisé des images.
La diffusion n'a pas tardé à créer des scènes de panique. Des habitants de villages proches de la zone de conflit ont tenté de fuir dans les bois pour échapper aux chars russes, les appels aux services d'urgence ont explosé tandis que certains commençaient déjà à faire la queue aux stations essence, en prévision d'une pénurie, raconte Anna Keshelashvili sur Global Voices. Le reportage étai suivi d'un débat sur le danger que représente la Russie pour la Géorgie.
Le gouvernement nie avoir été au courant du canular, mais dès dimanche, l'opposition géorgienne (pro-russe) a dénoncé une propagande pro-gouvernementale destinée à la salir. "La façon dont le gouvernement traite la population est scandaleuse. Je suis sûre que chaque seconde de ce programme a reçu l'approbation (du président Mikheïl) Saakachvili. Beaucoup de gens ont été psychologiquement traumatisés", a déclaré à l'AFP la responsable de l'opposition Nino Burjanadze, ajoutant : "Chaque mot me concernant était une calomnie malveillante et je vais poursuivre en justice la chaîne de télévision Imedi et les autorités".
Il faut savoir que la chaîne Imedi est dirigée par un proche allié de Saakachvili, Giorgi Arveladze, ancien chef de cabinet du président et ancien ministre de l'Economie. Selon cet article du Georgian International Media Center, site anti-Saakachvili, la chaîne était connue avant 2008 pour être un vrai contre-pouvoir, notamment contre la corruption. Elle serait devenue il y a deux ans, avec l'arrivée d'Arveladze, un organe de communication du président. Celui-ci a déploré l'absence de signalisation du canular pendant l'émission, tout en estimant qu'il fallait surtout retenir que le reportage était "proche de ce qui pourrait arriver".
Porté à la présidence par la révolution populaire de 2003, le président Saakachvili a vu son crédit entamé par sa décision de reprendre par la force en août 2008 le contrôle de la région séparatiste d'Ossétie du Sud, qui a provoqué en retour l'invasion du pays par l'armée russe.
La Russie a aussi réagi, par le biais du président des affaires étrangère de la Douma, la chambre basse du Parlement : "Il suffit de voir à qui cela bénéficie. Dans ce cas-là, la seule personne qui en bénéficie est le président Saakachvili, dont la seule manière d'avoir une place quelconque dans l'Histoire est de faire croire aux gens que leur pays est en danger", a-t-il déclaré.
Le 13 décembre 2006, la chaîne belge RTBF avait diffusé un faux reportage décrivant une sécession du pays entre la Flandre et la Wallonie, créant la panique le temps d'une soirée et ouvrant là aussi un important débat.
(Lu sur Arret sur Images)
Les Géorgiens n'en ont pas cru leurs yeux lorsqu'ils ont regardé, à 20 heures, les informations sur la chaîne privée "Imedi". Le présentateur leur annonçait que les chars russes étaient en train d'envahir le pays, que le président Mikheïl Saakachvili était mort, et que l'opposition avait décidé de se ranger du côté de la Russie, soutenue par une partie de l'armée.
Ce n'était qu'une vaste blague, signalée brièvement par un message au début de l'émission. Mais beaucoup de ceux qui ont pris l'émission en cours n'y ont vu que du feu, d'autant plus que le souvenir de la guerre éclair d'août 2008 entre la Géorgie et la Russie est encore frais. Le canular en a d'ailleurs utilisé des images.
La diffusion n'a pas tardé à créer des scènes de panique. Des habitants de villages proches de la zone de conflit ont tenté de fuir dans les bois pour échapper aux chars russes, les appels aux services d'urgence ont explosé tandis que certains commençaient déjà à faire la queue aux stations essence, en prévision d'une pénurie, raconte Anna Keshelashvili sur Global Voices. Le reportage étai suivi d'un débat sur le danger que représente la Russie pour la Géorgie.
Le gouvernement nie avoir été au courant du canular, mais dès dimanche, l'opposition géorgienne (pro-russe) a dénoncé une propagande pro-gouvernementale destinée à la salir. "La façon dont le gouvernement traite la population est scandaleuse. Je suis sûre que chaque seconde de ce programme a reçu l'approbation (du président Mikheïl) Saakachvili. Beaucoup de gens ont été psychologiquement traumatisés", a déclaré à l'AFP la responsable de l'opposition Nino Burjanadze, ajoutant : "Chaque mot me concernant était une calomnie malveillante et je vais poursuivre en justice la chaîne de télévision Imedi et les autorités".
Il faut savoir que la chaîne Imedi est dirigée par un proche allié de Saakachvili, Giorgi Arveladze, ancien chef de cabinet du président et ancien ministre de l'Economie. Selon cet article du Georgian International Media Center, site anti-Saakachvili, la chaîne était connue avant 2008 pour être un vrai contre-pouvoir, notamment contre la corruption. Elle serait devenue il y a deux ans, avec l'arrivée d'Arveladze, un organe de communication du président. Celui-ci a déploré l'absence de signalisation du canular pendant l'émission, tout en estimant qu'il fallait surtout retenir que le reportage était "proche de ce qui pourrait arriver".
Porté à la présidence par la révolution populaire de 2003, le président Saakachvili a vu son crédit entamé par sa décision de reprendre par la force en août 2008 le contrôle de la région séparatiste d'Ossétie du Sud, qui a provoqué en retour l'invasion du pays par l'armée russe.
La Russie a aussi réagi, par le biais du président des affaires étrangère de la Douma, la chambre basse du Parlement : "Il suffit de voir à qui cela bénéficie. Dans ce cas-là, la seule personne qui en bénéficie est le président Saakachvili, dont la seule manière d'avoir une place quelconque dans l'Histoire est de faire croire aux gens que leur pays est en danger", a-t-il déclaré.
Le 13 décembre 2006, la chaîne belge RTBF avait diffusé un faux reportage décrivant une sécession du pays entre la Flandre et la Wallonie, créant la panique le temps d'une soirée et ouvrant là aussi un important débat.
(Lu sur Arret sur Images)
Simone Veil, sixième "immortelle" de l'histoire
Elle occupe désormais le treizième fauteuil de l'Académie française, qui fut celui de Racine, Crébillon, Feuillet, Loti, Claudel, Wladimir d'Ormesson et Maurice Schumann. "Un dramaturge, un romancier, un officier de marine, des ambassadeurs, un ministre : la diversité des talents est votre lot, et ce depuis toujours", a constaté Simone Veil lors de sa réception à l'Académie française, jeudi 18 mars. Une ascendance académique qui la fait sourire, elle qui n'avait pas le droit, en terminale, d'étudier Phèdre en raison de son "halo incestueux".
Les faits Dans les cours de récréation, il n'y en a que pour Jena Lee
Vêtue du traditionnel "habit vert" brodé de branches d'olivier, Simone Veil, qui a fait l'éloge de son prédécesseur, Pierre Messmer, a été accueillie sous la Coupole par Jean d'Ormesson. "Il y a en vous comme un secret : vous êtes la tradition même et la modernité incarnée, a-t-il affirmé en présence de Nicolas Sarkozy, Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing. Je vous regarde, Madame : vous me faites penser à ces grandes dames d'autrefois dont la dignité et l'allure imposaient le respect. Et puis, je considère votre parcours et je vous vois comme une de ces figures de proue en avance sur l'Histoire."
"MODÈLE D'INDÉPENDANCE"
Dans son discours de réception, Jean d'Ormesson a longuement retracé le parcours de la femme préférée des Français. Son enfance au sein d'une famille juive, républicaine et laïque ; son arrestation par la Gestapo, le 30 mars 1944, à Nice ; son arrivée au camp d'Auschwitz-Birkenau, le 15 avril 1944, à l'aube, en compagnie de sa mère et de sa soeur. "La déportation n'est pas seulement une épreuve physique, c'est la plus cruelle des épreuves morales, a-t-il estimé. Revivre après être passé par le royaume de l'abjection est presque au-dessus des forces humaines."
A la Libération, Simone Veil fait pourtant le choix de revivre : à peine rentrée des camps, elle s'inscrit à Science Po, se marie, a trois enfants. Elle deviendra par la suite ministre de la santé, présidente du Parlement européen et membre du Conseil constitutionnel. "Vous avez des convictions, mais elles ne sont jamais partisanes, a poursuivi Jean d'Ormesson. Vous les défendez avec force. Mais vous êtes loyale envers vos adversaires comme vous êtes loyale envers vos amis. Vous êtes un modèle d'indépendance. Plus d'une fois, vous trouvez le courage de vous opposer à ceux qui vous sont proches et de prendre, parce que vous pensez qu'ils n'ont pas toujours tort, le parti de ceux qui sont plus éloignés de vous."
En entrant à l'Académie, Simone Veil, qui était l'une des pionnières du monde politique, rejoint un cénacle qui fut longtemps fermé aux femmes. Avec son élection, cinq d'entre elles siégeront désormais parmi les quarante Immortels : Mme Veil y côtoiera l'helléniste Jacqueline de Romilly, l'historienne Hélène Carrère d'Encausse et les écrivains Florence Delay et Assia Djebar.
Les discours de Simone Veil et Jean d'Ormesson : www.academie-francaise.fr.
(Lu sur Le Monde.fr)
Les faits Dans les cours de récréation, il n'y en a que pour Jena Lee
Vêtue du traditionnel "habit vert" brodé de branches d'olivier, Simone Veil, qui a fait l'éloge de son prédécesseur, Pierre Messmer, a été accueillie sous la Coupole par Jean d'Ormesson. "Il y a en vous comme un secret : vous êtes la tradition même et la modernité incarnée, a-t-il affirmé en présence de Nicolas Sarkozy, Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing. Je vous regarde, Madame : vous me faites penser à ces grandes dames d'autrefois dont la dignité et l'allure imposaient le respect. Et puis, je considère votre parcours et je vous vois comme une de ces figures de proue en avance sur l'Histoire."
"MODÈLE D'INDÉPENDANCE"
Dans son discours de réception, Jean d'Ormesson a longuement retracé le parcours de la femme préférée des Français. Son enfance au sein d'une famille juive, républicaine et laïque ; son arrestation par la Gestapo, le 30 mars 1944, à Nice ; son arrivée au camp d'Auschwitz-Birkenau, le 15 avril 1944, à l'aube, en compagnie de sa mère et de sa soeur. "La déportation n'est pas seulement une épreuve physique, c'est la plus cruelle des épreuves morales, a-t-il estimé. Revivre après être passé par le royaume de l'abjection est presque au-dessus des forces humaines."
A la Libération, Simone Veil fait pourtant le choix de revivre : à peine rentrée des camps, elle s'inscrit à Science Po, se marie, a trois enfants. Elle deviendra par la suite ministre de la santé, présidente du Parlement européen et membre du Conseil constitutionnel. "Vous avez des convictions, mais elles ne sont jamais partisanes, a poursuivi Jean d'Ormesson. Vous les défendez avec force. Mais vous êtes loyale envers vos adversaires comme vous êtes loyale envers vos amis. Vous êtes un modèle d'indépendance. Plus d'une fois, vous trouvez le courage de vous opposer à ceux qui vous sont proches et de prendre, parce que vous pensez qu'ils n'ont pas toujours tort, le parti de ceux qui sont plus éloignés de vous."
En entrant à l'Académie, Simone Veil, qui était l'une des pionnières du monde politique, rejoint un cénacle qui fut longtemps fermé aux femmes. Avec son élection, cinq d'entre elles siégeront désormais parmi les quarante Immortels : Mme Veil y côtoiera l'helléniste Jacqueline de Romilly, l'historienne Hélène Carrère d'Encausse et les écrivains Florence Delay et Assia Djebar.
Les discours de Simone Veil et Jean d'Ormesson : www.academie-francaise.fr.
(Lu sur Le Monde.fr)
L’incroyable pactole des gardiens de Fleury-Mérogis
Grâce aux cotisations des détenus, l’association culturelle de la prison a amassé plus de 800 000 €. Le président de la structure a été écarté et la chancellerie a lancé une réorganisation.
Plus de 800 000 € : c’est le montant de la cagnotte amassée, au fil des années, par l’association culturelle de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne). Constituée en 1969, l’Assodas (Association de soutien et de développement de l’action socioculturelle, sportive et éducative de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis) est régie par la loi de 1901.
A ce titre, elle ne peut pas faire de bénéfices. Dirigée par des représentants du personnel de la prison, son objet est « l’organisation, le développement et le soutien d’activités socioculturelles, socio-éducatives, sportives et de loisirs au profit des détenus ». Vaste programme dans ce qui constitue, avec près de 2 800 places et 3 440 détenus, le plus grand établissement pénitentiaire d’Europe.
Mais, tandis que la plupart des associations courent les subventions, l’Assodas fait figure de poule aux oeufs d’or. Son secret ? Essentiellement le prix, longtemps exorbitant, de la location des téléviseurs. « Pendant des années, chaque télé a rapporté 15 € net, par mois, à l’association », indique François Bès, un des responsables de l’Observatoire international des prisons (OIP). De quoi amasser des bénéfices faramineux quand on sait que l’Assodas gère, au total, 2 500 postes de télévision. Et qu’elle engrange, en outre, le montant des cotisations d’adhésion à l’association (16 000 € par an) ainsi que celui du « salon de coiffure » (environ 11 000 € annuels).
Côté dépenses, le bilan est nettement plus modeste. Outre le salaire de trois de ses permanents, l’association dépense « pour environ 100 000 € » de matériel sportif par an, explique un de ses membres. Quelques initiatives d’ordre culturel sont à mettre à son actif. Par le biais du Secours catholique, des bourses scolaires sont également attribuées chaque mois, au compte-gouttes, à des détenus indigents. Mais alors que la direction de l’établissement chiffre à « environ 150 » le nombre de ces détenus totalement démunis, François Bès affirme que le nombre de bourses ne dépasse pas « une quarantaine pour tout l’établissement ».
« Il est révoltant de voir de telles sommes dormir dans les banques », estime le militant de l’OIP. « Il est vrai que le matelas financier de l’association est très important, reconnaît un membre de l’Assodas. Tellement important qu’il est très difficile, dans les faits, de le dépenser. »
Pas étonnant, dans de telles conditions, que s’aiguisent les convoitises. Réputée pour son opacité, l’Assodas fut longtemps noyautée par le syndicat Force ouvrière, majoritaire au sein de la maison d’arrêt. Son président ainsi que la plupart des membres de son conseil d’administration en étaient membres.
De quoi favoriser les « petits arrangements entre amis » auxquels la nouvelle direction de l’établissement a tenté, en 2009, de mettre un terme (lire ci-dessous). Le 2 juillet, à l’occasion d’un houleux conseil d’administration, le président de l’Assodas a été poussé à la démission, mais son trésorier, absent ce jour-là, est toujours en place. Un nouveau conseil d’administration est prévu le 9 avril. La chancellerie, à laquelle n’a pas échappé l’intérêt financier de ces structures, planche de son côté sur une vaste réorganisation
Plus de 800 000 € : c’est le montant de la cagnotte amassée, au fil des années, par l’association culturelle de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne). Constituée en 1969, l’Assodas (Association de soutien et de développement de l’action socioculturelle, sportive et éducative de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis) est régie par la loi de 1901.
A ce titre, elle ne peut pas faire de bénéfices. Dirigée par des représentants du personnel de la prison, son objet est « l’organisation, le développement et le soutien d’activités socioculturelles, socio-éducatives, sportives et de loisirs au profit des détenus ». Vaste programme dans ce qui constitue, avec près de 2 800 places et 3 440 détenus, le plus grand établissement pénitentiaire d’Europe.
Mais, tandis que la plupart des associations courent les subventions, l’Assodas fait figure de poule aux oeufs d’or. Son secret ? Essentiellement le prix, longtemps exorbitant, de la location des téléviseurs. « Pendant des années, chaque télé a rapporté 15 € net, par mois, à l’association », indique François Bès, un des responsables de l’Observatoire international des prisons (OIP). De quoi amasser des bénéfices faramineux quand on sait que l’Assodas gère, au total, 2 500 postes de télévision. Et qu’elle engrange, en outre, le montant des cotisations d’adhésion à l’association (16 000 € par an) ainsi que celui du « salon de coiffure » (environ 11 000 € annuels).
Côté dépenses, le bilan est nettement plus modeste. Outre le salaire de trois de ses permanents, l’association dépense « pour environ 100 000 € » de matériel sportif par an, explique un de ses membres. Quelques initiatives d’ordre culturel sont à mettre à son actif. Par le biais du Secours catholique, des bourses scolaires sont également attribuées chaque mois, au compte-gouttes, à des détenus indigents. Mais alors que la direction de l’établissement chiffre à « environ 150 » le nombre de ces détenus totalement démunis, François Bès affirme que le nombre de bourses ne dépasse pas « une quarantaine pour tout l’établissement ».
« Il est révoltant de voir de telles sommes dormir dans les banques », estime le militant de l’OIP. « Il est vrai que le matelas financier de l’association est très important, reconnaît un membre de l’Assodas. Tellement important qu’il est très difficile, dans les faits, de le dépenser. »
Pas étonnant, dans de telles conditions, que s’aiguisent les convoitises. Réputée pour son opacité, l’Assodas fut longtemps noyautée par le syndicat Force ouvrière, majoritaire au sein de la maison d’arrêt. Son président ainsi que la plupart des membres de son conseil d’administration en étaient membres.
De quoi favoriser les « petits arrangements entre amis » auxquels la nouvelle direction de l’établissement a tenté, en 2009, de mettre un terme (lire ci-dessous). Le 2 juillet, à l’occasion d’un houleux conseil d’administration, le président de l’Assodas a été poussé à la démission, mais son trésorier, absent ce jour-là, est toujours en place. Un nouveau conseil d’administration est prévu le 9 avril. La chancellerie, à laquelle n’a pas échappé l’intérêt financier de ces structures, planche de son côté sur une vaste réorganisation
Santé: 49% des Américains satisfaits
Quarante-neuf pour cent des Américains sont satisfaits de la réforme de l'assurance maladie promulguée par le président Barack Obama, et 40% ne le sont pas, selon un sondage publié par l'institut Gallup. Selon cette enquête menée lundi auprès d'un millier de personnes, 49% des sondés considèrent comme "une bonne chose" l'adoption de la réforme la veille par le Congrès, contre 40% d'avis contraire.
Sans surprise, les sympathisants démocrates
saluent à 79% l'adoption de cette réforme au coeur du programme électoral de M. Obama, tandis que 76% des républicains la regrettent. Quarante-et-un pour cent des républicains se disent même "en colère" à l'égard de cette réforme adoptée après près d'un an de difficiles tractations au Congrès. Elle vise à apporter une couverture maladie à quelque 32 millions d'Américains qui en sont dépourvus.
L'enquête a été menée par téléphone avec une marge d'erreur de plus ou moins quatre points.
Sans surprise, les sympathisants démocrates
saluent à 79% l'adoption de cette réforme au coeur du programme électoral de M. Obama, tandis que 76% des républicains la regrettent. Quarante-et-un pour cent des républicains se disent même "en colère" à l'égard de cette réforme adoptée après près d'un an de difficiles tractations au Congrès. Elle vise à apporter une couverture maladie à quelque 32 millions d'Américains qui en sont dépourvus.
L'enquête a été menée par téléphone avec une marge d'erreur de plus ou moins quatre points.
Les revenus iPhone liés au jeu vidéo en hausse significative
Cet article de Cnet donne une bonne idée du paysage des jeux vidéos sur plate-forme portable et de son évolution entre 2008 et 2009. L'interprétation donnée est une érosion des parts de marché de Nintendo et de Sony, encore quasiment seuls sur leur marché en 2008.
L'etude (chiffres US) note que L'iPhone "gagne des parts de marché sur Nintendo et Sony", effectivement. Mais une question n'est pas creusée : est-ce que le jeu sur iPhone/iPod Touch n'est pas simplement un segment additionnel avec ses propres revenus qui s'ajoutent à ceux existant et qui finalement ne généraient pas forcément autant Nintendo et Sony ? Le gateau grossirait et la répartition serait du coup changée.
Si l'on prend les chiffres donnés dans le billet, on voit un marché effectivement en croissance dans lequel le total des revenus liés aux jeux sur machines portables est passé de 2,3 milliards à 2,63 milliards de dollars entre 2008 et 2009 ( + 14,3 %), on voit également ces variations :
- Apple avec son iPhone OS passe de 115 à 500 millions de dollars de revenus liés aux jeux vidéos : très nette augmentation mais départ d'une valeur très faible comparé aux compétiteurs
- Nintendo progresse de 1,725 à 1,841 milliards (+ 6,27 %)
- Sony passe de 460 à 289 millions de dollars de revenus via ses jeux sur PSP : très nette baisse (- 37 %)
Que peut on en retirer ?
Certes l'iPhone OS prend des parts de marché, maintenant, cela n'empêche pas Nintendo de progresser d'une année sur l'autre, même si c'est moins vite que l'ensemble. Par contre, Sony perd complétement pied. De là à accuser l'iPhone OS, je pense que c'est un pas à ne pas franchir, le public et les jeux étant très différent à priori, il faut sûrement chercher le problème ailleurs, mais cela dépasse la thématique se ce blog ;-). En tout cas, L'iPhone avec le jeu pèse désormais plus lourd que la PSP.
L'etude (chiffres US) note que L'iPhone "gagne des parts de marché sur Nintendo et Sony", effectivement. Mais une question n'est pas creusée : est-ce que le jeu sur iPhone/iPod Touch n'est pas simplement un segment additionnel avec ses propres revenus qui s'ajoutent à ceux existant et qui finalement ne généraient pas forcément autant Nintendo et Sony ? Le gateau grossirait et la répartition serait du coup changée.
Si l'on prend les chiffres donnés dans le billet, on voit un marché effectivement en croissance dans lequel le total des revenus liés aux jeux sur machines portables est passé de 2,3 milliards à 2,63 milliards de dollars entre 2008 et 2009 ( + 14,3 %), on voit également ces variations :
- Apple avec son iPhone OS passe de 115 à 500 millions de dollars de revenus liés aux jeux vidéos : très nette augmentation mais départ d'une valeur très faible comparé aux compétiteurs
- Nintendo progresse de 1,725 à 1,841 milliards (+ 6,27 %)
- Sony passe de 460 à 289 millions de dollars de revenus via ses jeux sur PSP : très nette baisse (- 37 %)
Que peut on en retirer ?
Certes l'iPhone OS prend des parts de marché, maintenant, cela n'empêche pas Nintendo de progresser d'une année sur l'autre, même si c'est moins vite que l'ensemble. Par contre, Sony perd complétement pied. De là à accuser l'iPhone OS, je pense que c'est un pas à ne pas franchir, le public et les jeux étant très différent à priori, il faut sûrement chercher le problème ailleurs, mais cela dépasse la thématique se ce blog ;-). En tout cas, L'iPhone avec le jeu pèse désormais plus lourd que la PSP.
Richard Serra
Richard Serra est un artiste d'art contemporain américain. Il est rattaché au minimalisme et est connu pour ses sculptures en métal. Il a également réalisé des films. Il vit et travaille à New York et en Nouvelle-Écosse. Il exposait au Grand Palais l'an passé à l'occasion de Monumentaé 2008: 4 énormes plaques de fontes qui reposaient sur leur base et s'élèvaient à plusieurs dizaines de mètres de haut.
mardi 23 mars 2010
samedi 20 mars 2010
L'Alice au Pays des Merveilles de Tim Burton
Déjà un film, en 3D faut-il préciser, pulvérise les records de l'Avatar de James Cameron en termes de fréquentation de salles. Et c'est Tim Burton qui décroche la timballe avec un film qui lui est intime et personnel, avec Johnny Depp au casting et cet univers personnel qu'on lui recoonnait toujours: Alica aux Pays des Merveilles.
Alors qu'il va bientôt présider le prochain festival de Cannes, voilà comme une récompense non seulement de bon aloi mais méritée. Bravo a lui.
Alors qu'il va bientôt présider le prochain festival de Cannes, voilà comme une récompense non seulement de bon aloi mais méritée. Bravo a lui.
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